"Indochine ça ne s'explique pas, ça se vit",
parce que c'est comme ça. On ne sait
pas vraiment expliquer, mais il faut y croire,
et tout devrait se situer dans la foi
et le ressenti. Un rejet primaire de l'analyse,
typique des prédicateurs, gourous, et de nos dirigeants
les plus autoritaires. Nicolas nous avait pourtant
dit de nombreuses fois de ne pas faire confiance
aux grandes personnes, et qu'il ne fallait pas être dupe -
sans jamais nous dire de quoi.